En 2000, Bruce Campbell se voyait offrir une nouvelle occasion de soutenir une série télé sur ses épaules. Bide derechef. Dommage, le divertissement était honorable.
Série qui pointe directement au cœur d'une nostalgie larmoyante et qui laisse encore une certaine impression bouleversante d'une humanité débordante. Aujourd'hui on appellerait ca du mièvre. Pourtant c'est mignon.
Série réussie qui bénéficie de la notoriété et du succès d'un film générationnel des années 80. A revoir pour le souvenir et pour quelques épisodes super sympas et frais ainsi que pour écouter une BO toujours aussi bonne.
Sur le plus odorant des fumiers peut toujours pousser une rose. C'est ainsi que dans l'univers consternant d'une sitcom pourrie est né un personnage-culte poilu et rigolard dont on aime à imiter aujourd'hui encore la diction fascinante. « J'ai mangé un chaat !... »
« Note pour plus tard : rédiger une critique de Parker Lewis ne perd jamais » On savait que le post-it collé sur le frigo de la rédac' servirait un jour à quelque chose.
Les Muppets sans le côté people... Fraggle rock était LE show musical pour enfants des années 80. Jim Henson était un boss.
Mauvaise, la série s'avère un intéressant catalyseur de la déliquescence du style AB. C'est effectivement à partir du Miel et les Abeilles que tout partira en sucette.
Stargate nous fait son Indiana Jones.